DIANE SEGARD
The Hypnopaedic bed   EXTRA-MAGMA VENUSIANSTransit benchPlaymobil graveNekro desk Organ replacementSkadi Mons BetylePanaxopolisBicephalous DevicePost-mortem campaignPandemonium Welcome Kit












AUDIO LINK (french) 




Skadi Mons Betyle,


2021, polyester and epoxy resin, foam, sleeve, polyurethane elastomer, synthetic plants, Earpods, 120 cm x 100 cm.






FR

Inspiré par les antiques omphalos, pierres sacrées symbolisant le "nombril du monde" dans la mythologie grecque, cette œuvre réinterprète cette notion d'axe mondial à travers le prisme d'une cosmologie extraterrestre. Inspiré par la majestueuse montagne de Skadi Mons, située sur la surface tumultueuse de Venus, cette pièce est une célébration du mystère qui caractérisent notre planète voisine.

L’objet est envisagé comme un bétyle extraterrestre, une pierre sacrée non pas façonnée par les mains humaines, mais formée par les forces d’une communauté vénusienne. Le Bétyle de Skadi Mons incarne une connexion sacrée non seulement avec les terrains volcaniques et les nuages acides de Venus mais aussi avec cette communauté fictive que l’on retrouve dans mes dessins

La texture de sa surface engage l'observateur dans une découverte visuelle et auditive. Celui-ci est convié à placer le téléphone près de son oreille pour entendre l'histoire racontée par le dernier résident de Vénus, narratif poignant de la tentative infructueuse d'hybridation entre les humains et sa communauté vénusienne.

EN

Inspired by the ancient omphalos, sacred stones symbolizing the "navel of the world" in Greek mythology, this work reinterprets the concept of a world axis through the prism of an extraterrestrial cosmology. Inspired by the majestic mountain of Skadi Mons, located on the tumultuous surface of Venus, this piece is a celebration of the mystery that characterizes our neighboring planet.

The object is envisioned as an extraterrestrial betyl, a sacred stone not shaped by human hands, but formed by the forces of a Venusian community. The Skadi Mons Betyl embodies a sacred connection not only with the volcanic terrains and acidic clouds of Venus but also with this fictitious community found in my drawings.

The texture of its surface engages the observer in a visual and auditory discovery. They are invited to place the phone close to their ear to hear the story told by the last resident of Venus, a poignant narrative of the unsuccessful attempt at hybridization between humans and their Venusian community.