Diane SEGARD was born in 1998 in Lille (France). Currently studying at École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris (5th year).
Diane Segard est une artiste dont le travail protéiforme s’articule autour de la création de scénarios dystopiques où se bousculent dilemmes bioéthiques et conditionnement du corps humain.
Dans ses illustrations, elle nous offre à voir l’examen d’un monde extraterrestre sensuel et inquiétant. Elle se penche, avec un ton parfois satirique, sur des sujets variés, allant du don d’organes aux transplantations sanguines, ou de l’ectogenèse à l’euthanasie. Aussi bien fascinée par la maïeutique que le funéraire, elle développe également des sculptures aux allures organiques qu’elle construit comme des objets de mobilier fictifs. Ses oeuvres spéculent sur l’institutionnalisation et la capitalisation du corps humain et en scrutent les implications éthiques et sociales.
Dernièrement, son travail a été exposé lors des Journées Internationales du Films sur l’Art aux Louvre (Paris).
Dans ses illustrations, elle nous offre à voir l’examen d’un monde extraterrestre sensuel et inquiétant. Elle se penche, avec un ton parfois satirique, sur des sujets variés, allant du don d’organes aux transplantations sanguines, ou de l’ectogenèse à l’euthanasie. Aussi bien fascinée par la maïeutique que le funéraire, elle développe également des sculptures aux allures organiques qu’elle construit comme des objets de mobilier fictifs. Ses oeuvres spéculent sur l’institutionnalisation et la capitalisation du corps humain et en scrutent les implications éthiques et sociales.
Dernièrement, son travail a été exposé lors des Journées Internationales du Films sur l’Art aux Louvre (Paris).
Diane Segard is an artist whose multidisciplinary work focuses around the creation of dystopian scenarios involving bioethical dilemmas and the conditioning of the human body.
In her illustrations, she offers us an examination of a sensual and disturbing alien world. With a sometimes satirical tone, she examines a wide range of subjects, from organ donation to blood transplantation, from ectogenesis to euthanasia.
As fascinated by maieutics as she is by the funerary, she also develops organic-looking sculptures that she constructs as fictitious furniture objects. Her works speculate on the institutionalization and capitalization of the human body, and explore its ethical and social implications.
Her work was recently exhibited at the Journées Internationales du Films sur l'Art at the Louvre (Paris).